Salam aleïkoum, nous y sommes !
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Le Caire, follement dingue tu étais, follement dingue tu resteras
Retour au Caire environ 15 ans après notre tour Sinaï à vélo avec nos amis P. et C. Retour dans une ville toujours aussi bordélique et fatigante, encore plus polluée et survoltée, et relativement boudée des touristes.
Nous traversons le fleuve mythique à multiples reprises en visitant cette mégalopole de 20 millions d’habitants, mais c’est près des pyramides que nous sommes basés.
Les pyramides de Gizeh offrent leur splendeur dans la lumière douce du couchant. Bien sûr, souhaits de bienvenue et offres commerciales sont légion, d’autant plus que depuis la révolution de 2011, les touristes sont nettement moins nombreux.
Les vélos remontés, nous partons les essayer en allant visiter 2 fameux sites, le plus éloigné n’étant qu’à une trentaine de km. Pour quitter la ville, nous cherchons à éviter les grands axes, et Maps.me nous conduit assez bien, sauf qu’au bout d’une dizaine de km, nous nous trouvons dans des pistes de sable. Nous arrivons tout de même à bon port. D’abord la nécropole de Saqqarah, avec la pyramide à degrés de Djéser.
Le village de Dahchour marque, au sud, la fin de la vaste zone de pyramides qui débute à Gizeh.
Entrons dans la pyramide rouge de Snefrou, le père de kheops. On descend de 63 m dans un impressionnant boyau de 90 cm de haut pour accéder à la chambre funéraire.
Il n’y a pas foule, c’est chouette, et cela contraste avec les incontournables bouchons de la banlieue.
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